Une bouteille à la mer : moitié vide ou moitié pleine ?

Une bouteille à la mer : moitié vide ou moitié pleine ?

Le seul survivant d’un naufrage a été emporté par les vagues sur une petite île déserte.
Seul, découragé, il prie tous les jours que quelqu’un vienne le sauver.
Mais l’horizon n’est qu’une ligne bleue, désespérément bleue…
Alors, pour ne pas mourir de faim, l’homme chasse.
Et pour se mettre à l’abri, il se construit une méchante hutte à l’aide de longues feuilles de palmiers.
Après plusieurs jours de travail assidu, son abri de fortune tient à peu près debout.
Fier de son ouvrage, il part à la chasse, mais à la mi-journée, un orage effroyable le surprend et il revient en courant vers sa hutte.
Trop tard ! Elle a pris la foudre et le feu la consume…
Il se sentait déjà terriblement malchanceux de se retrouver seul, égaré sur une île déserte, et voilà que le pire lui arrive : il a tout perdu dans cet incendie.
Après le choc initial, le chagrin et bientôt la colère l’habitent.
À genoux sur la plage, l’homme hurle sa détresse : “Mon Dieu, comment peux-tu me faire ça ?“.
Puis, découragé, anéanti par la fatigue et la colère, il s’endort sur le sable.
Très tôt, le lendemain matin, il est réveillé par un bruit sourd… un moteur…
Il bondit sur ses jambes : un cargo approche de son île ! Ça y est, il est sauvé !
Une fois en sécurité sur le bateau, le naufragé demande au capitaine : « Comment saviez-vous que je me trouvais ici ? »
Et le capitaine de lui répondre : « Nous avons vu votre signal de fumée. »

www.anti-deprime.com

Le regard que nous portons sur les événements ne nous mènent pas sur les mêmes chemins. Comme le dit l’affiche postée par le site anti-déprime.com, “obstacle et opportunité commencent par la même lettre. A nous de choisir.

Histoire proposée par la lettre des optimistes de France du 2 juillet 2018

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *